Mon expérience Webcom Montréal 2010 : réflexions d’un entrepreneur TI (15)

Vive Montréal

Nous avons assisté au Webcom Montréal 2010 oette semaine, encore une fois, avec grand plaisir; ceci dit, force est de constater que cet événement a atteint une belle maturité avec non seulement plusieurs conférenciers de renommée internationale mais aussi, en prime, Jimmy Wales, fondateur de Wikipedia, et l’incontournable Clara Shih, auteure de The Facebook Era.

Ce n’est pas rien; alors toutes nos félicitations à Michel Chioni, Président de Webcom Montréal 2010, et son équipe qui ont encore fait un boulot extraordinaire et contribuer à faire de Montréal une destination web un peu plus incontournable.  On ne soulignera jamais assez l’apport d’événements d’envergure internationale tels ce Webcom Montréal 2010 au rayonnement et à l’essor économique de Montréal.

Soulignons qu’à l’écoute des conférenciers présents, on a pu aussi constater que Montréal possède une Web Crowd de qualité avec des stars reconnus mondialement comme Julien Smith, Tara Hunt, Adele McAlear, Michelle Blanc, Sylvain Carle et plusieurs autres.

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La Gestion des Attentes Client : réflexions d’un entrepreneur TI (14)

On ne compte plus le nombre de projets TI qui se sont soldés par un échec relatif : échec sur le plan des budgets et / ou des échéances, cela est assez commun au point où cela semble être presque perçu comme normal aujourd’hui, même si ça ne devrait pas être le cas.  Ce dont on parle moins souvent toutefois, c’est des échecs sur le plan des attentes du Client.

La raison en est fort simple; lorsqu‘il y a divergence sur ce plan entre le Client et le développeur TI, le processus de développement logiciel amène presque toujours les deux parties à conclure que des besoins nouveaux sont apparus en cours de projet ou que des besoins initiaux n’ont tout simplement pas été identifiés à l’origine du projet.

Ces deux hypothèses de travail couvrent une large partie des cas. Mais, pas tous, et la réalité est parfois toute autre et aussi toute simple !

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5 étapes pour bâtir un devis sans analyse : réflexions d’un entrepreneur TI (12)

À titre d’entrepreneur TI, on a tous vécu ça un jour ou l’autre : vous avez une opportunité avec un nouveau client (contact direct inopiné, référence professionnelle, d’amis ou de famille, etc.) et vous devez présenter un devis!   Alors, comment s’y prendre afin de ne pas se brûler les ailes tout en se donnant les meilleures chances de remporter ce compte ?  Allons-y voir !

L’œuf ou la poule ?

Nouveau client, donc, vous  ne connaissez pas sa réalité d’affaires, ni son secteur d’activités, enfin pas dans les détails; alors vous devrez d’emblée investir du temps en briefing (plus que moins…) et en recherche sur le marché.

D’abord, vous avez réussi à démontrer que vous avez les compétences (réalisations et expertises), les capacités (ressources humaines et financières) et que votre pérennité est assurée; enfin, autant que faire se peut en ce bas monde !  Sinon, ce devrait être là votre premier objectif; démontrez tout cela lors de votre premier meeting / briefing / lunch avec votre nouveau client potentiel.

Deuxième objectif : déterminer une fourchette budgétaire. Il vous dira que c’est à vous de le lui dire et vous direz; oui, mais je dois avoir au moins un ordre de grandeur… et ainsi de suite !

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5 écueils à éviter au démarrage d’un projet TI

Michel Martel, entrepreneur de métier, et analyste-programmeur de formation, ne cesse de parfaire, peaufiner, raffiner ces techniques de démarrage de projet afin de toujours en assurer l’alignement avec les objectifs d’affaires.

Analystik a d’ailleurs investi massivement ces dernières années dans la mise en place de la méthodologie Agile-SCRUM mais aussi dans la formation / certification CMMI !  Et la raison en est fort simple, malgré tout ce que l’on peut dire, aux dernières nouvelles, les statistiques sont toujours les mêmes en termes de Gestion de Projets TI; plus de 83% dépassent soit les budgets, soit les échéances… parfois les deux !

Quelle en est la cause ?  Quels en sont les causes ?  Difficile à dire; cependant, on peut essayer d’identifier les écueils à éviter au démarrage d’un projet TI ?

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Réflexions d’un entrepreneur TI (10) : une idée, ça n’a pas de prix, pour tout le reste…

Michel, entrepreneur de métier, participe à chaque année à Vision PDG organisé par  l’AQT (Association Québécoise des Technologies); afin de parfaire, peaufiner, raffiner sa planification stratégique et en assurer l’alignement avec ses objectifs d’affaires.

Le slogan de Vision PDG est « Pour des Présidents, par des Présidents »; tout est là, tout est dit.  Vous avez la chance d’entendre la vision de vos pairs et peut-être aussi de vous comparer un peu.  C’est toujours bon de se comparer, voire de se confronter; ainsi, ce qui n’est pas est assis sur des bases solides est rapidement mis à jour et tombe; ne vous laissant que ce qui tiendra la route ou ce qui a été éprouvé déjà. Cependant, il faut faire gaffe à ne pas non plus laisser tomber des intuitions prometteuses au premier doute !!!

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Silverlight : et la lumière fût ou fût-elle… futile ?

Dans la foulée des mises à jour et des lancements de nouveaux produits.

Silverlight se rapproche lentement mais sûrement du quatuor de tête que constituent:

  1.  Windows OS/Server;
  2. Office Suite;
  3. le framework .Net;
  4. SharePoint.

Et pourquoi Microsoft déploie-t-elle tant d’efforts à mousser Silverlight ?  Et pourquoi devrions-nous utiliser Silverlight ?  Que veut Microsoft ou encore que propose-t-elle de nouveau en Web avec Silverlight ?  Et n’allez surtout pas croire que je veux là entamer un autre débat entre le bien et la mal.  Non,  nous n’entrerons pas ici dans la  confrontation « Open Source »  vs « .Net ».  Non le but de cet exercice est de mettre en lumière les particularités des différentes approches pour le développement d’applications Web et la conception de sites Web en regard, à la fois, de l’étendue des fonctionnalités, de la qualité de  l’expérience utilisateur et de la capacité d’intégration avec l’environnement TI des entreprises.  Nous voudrions ainsi pouvoir dégager l’offre ou, à tout le moins, circonscrire le positionnement de Silverlight.

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Variations du coût d’entretien d’une application TI – l’architecture

La 2e question à cent mille balles, comme disent nos amis Français : combien cela coûtera-t-il à « maintenir » cette application ?   Dans ce dernier billet, nous nous concentrerons principalement sur l’Architecture alors que nous avons couvert la Documentation dans le billet précédent.

La liste des facteurs ayant un impact sur les coûts d’entretien d’une application TI ne se limite pas à ces deux facteurs, mais ce sont, à notre avis, les deux principaux.

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Réflexions d’un entrepreneur TI (7) : variations du coût d’entretien d’une application TI

C’est l’autre question à cent mille balles, comme disent nos amis Français : combien cela coûtera-t-il à « maintenir » cette application ?   Dans ce cas-ci, par contre, la réponse ne relève pas de mille et un facteurs mais bien de deux facteurs dominants qui feront varier le coût d’entretien; soit, principalement, l’architecture et la documentation !

S’agit-il d’un billet sur la Gestion de Projets ?  Loin de là.  Et Dieu sait que la gestion de Projets a fait couler beaucoup d’encre en TI depuis une décennie et que cela mériterait toute une série de billets en soi… que nous ferons peut-être en 2010.  Mais pour les besoins de ce billet, nous prendrons pour acquis que tous les développeurs appliquent de bonne pratique en matière de Gestion de Projets.

La liste des facteurs ayant un impact sur les coûts d’entretien d’une application TI ne se limite pas à ces deux facteurs, mais ce sont, à notre avis, les deux principaux.

Variations libres sur un thème de « Maintenance » d’une application TI

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Réflexions d’un entrepreneur TI (6) : variations du coût de développement d’une application

C’est la question à cent mille balles, comme disent nos amis Français : combien cela coûtera-t-il à développer cette application ?   Malheureusement, la réponse n’est jamais simple et jamais unique car il y a mille et un facteurs qui en feront varier le coût de développement… dont la méthodologie de travail et la notoriété de l’entreprise soumissionnaire ne sont pas les moindres !

Le client saisit-il bien toutes les subtilités et les implications sur le plan du développement logiciel de ses objectifs d’affaires ?  Veut-il une couche importante d’Intelligence d’Affaires ?  Quelle est la nature et l’état de son environnement TI actuel ?  Y a-t-il conflit en perspective ou incompatibilité entre l’application souhaitée et les systèmes / applications en place ?  Faudra-t-il développer d’autres applications ou mettre en place d’autres systèmes afin d’arrimer cette application ?   Dans quelle mesure, cette application est-elle critique à l’atteinte des objectifs d’affaires  de l’entreprise du client et si c’est le cas, devrons-nous remplacer certains systèmes en place ou en implanter d’autres ?  Devrons-nous optimiser certains processus des applications en place afin d’harmoniser l’interaction avec l’application développée ?  Quelle méthodologie le développeur utilisera-t-il ?  Quelle est l’architecture retenue ?

S’agit-il d’un billet sur la Gestion de Projets ?  Loin de là.  Et Dieu sait que la gestion de Projets a fait couler beaucoup d’encre en TI depuis une décennie et que cela mériterait toute une série de billets en soi… que nous ferons peut-être en 2010.  Mais pour les besoins de ce billet, nous prendrons pour acquis que tous les développeurs appliquent de bonne pratique en matière de Gestion de Projets.

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Réflexions d’un entrepreneur TI (5) : gérer les attentes du client

La pénétration des TIC en entreprise et le rôle stratégique qu’elles ont tcquis dans le développement des affaires font en sorte qu’aucun projet TI n’est un vase clos.  J’entends par là que tout projet tTI a un impact sur d’autres départements et/ou applications et/ou processus d’affaires et/ou ressources que ceux et celles qu’il touche directement.

Conséquemment, la gestion d’un projet TI consiste aussi en bonne partie à gérer les relations avec d’autres départements. Les impacts sur d’autres applications et d’autres processus ainsi que sur d’autres ressources.

Il n’est pas toujours facile de naviguer sur des mers dont on ne connaît pas toujours bien les courants !!!  Alors comment ne pas nuire à la productivité de l’entreprise et de ses ressources ?

Les mille et un visages du Client

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Base de Données vs CRM – 12 questions fondamentales

Beaucoup d’entreprises implantent l’un et/ou l’autre et pas toujours pour les bonnes raisons; ce qui peut s’avérer coûteux non seulement en termes de frais. Mais, aussi en termes de Productivité et de Développement des Affaires. Et l’un ne va pas obligatoirement avec l’autre.  Enfin, pas toujours et pas nécessairement.

Tout le monde est en mode CRM depuis le début du  Nouveau Millénaire; CRM 1.0, CRM 2.0, Social CRM, CRM-in-the-Cloud, etc., le buzz de l’heure, quoi ?  On oublie, étonnamment, que la décennie ’90 fut l’âge d’or de la Base de Données; toutes les entreprises investissaient massivement dans une Base de Données (BD).  Qui ne se souvient pas de Visual FoxPro qui tenait à la fois de BD et de langage de programmation ?  Mais, c’était une autre époque…

Le fait est qu’un CRM sophistiqué avec des fonctions avancées de Gestion ou des extensions plugins Médias Sociaux; cela ne compensera jamais pour les lacunes ou l’absence d’une BD qui ne traduit pas votre réalité d’affaires.  De même, vous ne vous en tirerez pas mieux si la BD de votre CRM doit interfacer avec plusieurs systèmes de votre entreprise.

Quand il faut choisir entre CRM ou BD, il faut évaluer les besoins qui varieront selon la taille de l’entreprise, le secteur d’activités et surtout, la taille de la Force de Ventes/Service à la Clientèle et de la Base de Clients.

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Ventes : Les outils de conversation – Médias Sociaux et CRM

la liste d’outils de conversation s’allonge…

Non mais c’est effarent à quel point les d’outils de Conversation se multiplie depuis le début 2009. Et cela me donne à penser…

D’une part, je parle d’outils de Conversation car c’est bien de cela dont il s’agit, nous sommes d’accord. Tous ces outils servent à mieux converser avec  le Client, ou à tout le moins, à maintenir la Conversation ou suivre le fil de la Conversation, sur de multiples plates-formes et sur de multiples sujets avec de multiples personnes.

Ainsi, non seulement la frontière devient de plus en plus transparente entre le « perso » et le « pro », c’est toujours le temps de travailler et c’est toujours le temps de s’amuser, mais aussi, et conséquemment; les représentants deviennent des Agents de marque, ils véhiculent et affichent leur position/profession dans leurs réseaux perso et affichent/utilisent leurs réseaux perso au boulot !!!  Responsabilité étendue, quoi; d’aucuns diraient, augmentée.

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Votre Support à la Clientèle est-il devenu inSupportable ?

Vous passez devant les bureaux de votre Support à la Clientèle et ce que vous entendez vous effraie, que ce soit le ton, les propos ou encore l’attitude.  Vous entendez le Support à la Clientèle reprocher en fait aux Clients de ne pas comprendre les subtilités de l’application, de ne pas avoir lu la documentation, de ne pas se rappeler la formation ou encore, carrément,  leur faire la morale ou la leçon !

N.B. Cette situation est le lot de plusieurs PME TI où les responsables du Support à la Clientèle (niveau 1-2-3) sont aussi programmeurs/développeurs.

Bref, si vous étiez le Client, vous auriez raccroché depuis longtemps… et vous angoissez, avec raison d’ailleurs, car le Support à la Clientèle sont les ressources qui entretiennent une relation directe et presque quotidienne avec vos principaux Clients; en un mot, ils jouent un rôle clé et critique dans la Satisfaction de la Clientèle et par conséquent, dans l’avenir de l’entreprise.

Comment vous en tirer avant que de froisser votre Clientèle ou vos employés ?

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La relève TI au Québec – Réflexions d’un entrepreneur TI

Dans notre billet précédent, nous avons discuté des pressions imposées aux développeurs par l’évolution rapide des technologies mises en marché.  On concluait qu’avec le besoin de SAVOIR, l’emphase en entreprise est passée présentement du contenant au contenu. En tant qu’intervenant du monde des TI, il faut s’ajuster et rapidement…  Il faut savoir conjuguer les technologies offertes et les besoins des différentes clientèles (usagers, dirigeants et département TI).  Dans ce billet, nous tenons à souligner qu’il faut ajouter à cette équation la problématique de la relève.

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Réflexions d’un entrepreneur TI (2) : le chaos techno

Quand je regarde l’évolution, que dis-je, l’explosion des technologies, des environnements TI et des modèles d’affaires proposés ces dernières années; honnêtement, en tant qu’intervenant du monde des TI, il n’est pas toujours facile de s’y retrouver. Quel chaos techno!

Comment identifier les technologies gagnantes ou les entreprises-fournisseurs de technologies qui proposent des modèles d’affaires « gagnant-gagnant-gagnant » ?  Si, si, vous avez bien lu; 3 fois gagnant comme dans « client-fournisseur-développeur ».  Si vous avez une réponse toute simple et infaillible à cette question; prière de m’appeler ASAP !

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